Dimanche dernier, en match de clôture de la 32e journée de Ligue 1, Lille et l’Olympique de Marseille se sont neutralisés (1-1). Une rencontre au cours de laquelle Mohamed Henni est passé par des états diamétralement opposés au sujet du gardien de but du club qu’il supporte.
Dans un premier temps, l’influenceur a fait l’éloge de Geronimo Rulli. « Qu’est ce que je l’aime ce mec ! Ce sera la seule fois de ma vie où j’achèterai le maillot d’un gardien de but. Droit au but, gardien de but Rulli, on en parle pas assez de ce mec, de sa saison. On va attendre qu’il parte pour qu’il devienne une légende. C’est comme Tupac, il faut qu’il meurt pour que ça devienne une légende », s’est-il emballé, en faisant référence au rappeur américain assassiné en 1996.
Des propos tenus juste avant la bourde du portier argentin, lors de la seconde période face au LOSC. Celui-ci a pris une énorme risque en voulant faire une relance courte sur un six mètres. Résultat des courses : le ballon a été intercepté Jonathan David, ce qui a conduit à l’égalisation des Dogues à la crispation de Mohamed Henni.
Mohamed Henni, les montagnes russes
« Non, non, mais Rulli sa mère, s’est alors emporté le vidéaste web franco-algérien. Qu’est ce qu’il s’est passé ? J’ai plus les mots. Quelle boulette, avec son dégradé à l’équerre. C’est terrifiant,c’est pas possible. Je suis choqué, j’étais en train de vous vanter Rulli. Il a fallu que je parle… Je suis traumatisé, comment je peux être un poissard à ce point-là. Il n’y a plus de blague, c’est terrifiant. Je ne contrôle pas ce pouvoir maléfique, obscur. »
Avec Lucas Chevalier (Lille OSC), Gianluigi Donnarumma (PSG), Lucas Perri (OL) et Dorde Petrovic (RC Strasbourg), Geronimo Rulli fait partie des cinq prétendants pour le trophée UNFP de meilleur gardien de but de la saison en Ligue 1. Une nomination que le journaliste Loïc Tanzi avait remis en cause.