Après Didier Deschamps, qui va quitter l’équipe de France dans la foulée de la Coupe du monde 2026, c’est la plus grande légende du football tricolore devrait reprendre les rênes de la sélection: Zinédine Zidane. « Zizou » est l’idole ultime de l’Hexagone depuis le sacre à la Coupe du monde 1998, sur un doublé de la tête du meneur de jeu contre le Brésil en finale. Avec leur Ballon d’Or, les Bleus ont ensuite remporté l’Euro 2000.
L’IFFHS (International Federation of football history and statistics) place logiquement Zidane dans le 10 des meilleurs joueurs de tous les temps. Créée en 1984, « l’IFFHS a pour objectif principal la documentation chronologique des résultats, des données et des informations relatives au football mondial ». Cette organisation actualise régulièrement ses « all time top 10 ».
Le dernier classement publié (et relayé sur X) place ainsi Lionel Messi en tête. Le recordman de Ballon d’Or (8 titres) est entré toujours un peu plus dans l’histoire de son sport en menant l’Argentine à la victoire à la Coupe du monde en 2022, aux dépens de l’équipe de France de Didier Deschamps. Le numéro 10 de l’Albiceleste devance ainsi les légendes Pelé et Diego Maradona, également champions du monde (le Roi Pelé est même triple champion du monde).
Zidane dans le top 10, pas Platini !
Dans ce top 10, Zidane figure ainsi en 7e position, puisqu’il est également devancé par Cristiano Ronaldo (4e), Johan Cruyff (5e) et Ronaldo (6e). Son ancien coéquipier brésilien du Real, surnommé « R9 », « Il Fenomeno » ou encore « le vrai Ronaldo », est deux fois champion du monde (1994 et 2002) et double Ballon d’Or (1997 et 2002). « CR7 », meilleur buteur de l’histoire du football, et Cruyff, légende du jeu, n’ont pas la Coupe du monde à leur palmarès.
Zidane est classé devant Franz Beckenbauer et Alfredo Di Stefano, deux joueurs qui ont également changé l’histoire du football à l’instar de Pelé. Ronaldinho ferme la marche de ce top 10. L’autre légende du football tricolore, Michel Platini, triple Ballon d’Or européen (1983, 1984 et 1985), n’est donc pas mis en avant. Pas plus que Marco Van Basten ou Gerd Müller.
