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  • Paul Pogba, c’est officiel !

Paul Pogba, c’est officiel !
De retour sur le devant de la scène, Paul Pogba est longuement revenu sur les difficultés traversées depuis son contrôle anti-dopage positif, pointant du doigt la Juventus Turin.

Le grand retour de Paul Pogba se précise. Et comme pressenti depuis plusieurs semaines, c’est à Monaco que le champion du monde tricolore s’apprête à reprendre le fil de sa carrière après près de deux années passées loin des terrains en raison d’un contrôle positif à la déhydroépiandrostérone (DHEA), une hormone synthétique en septembre 2023.

Et si l’ancien Havrais a finalement vu sa suspension réduite à 18 mois par le Tribunal arbitral du sport, il avait initialement écopé de quatre ans, ce qui signifiait peu ou prou la fin de sa carrière. Interrogé devant les caméras de Sept à Huit, le natif de Lagny-sur-Marne a raconté le calvaire vécu ces deux dernières années.

« Je ne comprends rien. C’était très dur. C’est quelque chose qu’on m’a enlevé alors que je n’étais pas prêt. La sentence et la manière… Ça a été un choc. Quatre ans d’un coup pour dopage, sans explication et sans qu’on m’écoute », a-t-il ainsi confié au sujet de l’annonce de sa suspension.

Paul Pogba contraint de quitter l’Italie

« J’ai dû aussi quitter l’Italie parce que mes enfants étaient juste à côté du centre d’entraînement, a-t-il poursuivi. J’allais les accompagner et je passais tous les jours devant le stade. Je n’arrivais plus à faire ça. Je ne pouvais pas m’entraîner. C’était trop dur pour moi. Ne pas jouer au foot, accompagner mes enfants, passer devant le stade… Mes enfants me demandent: ‘papa, quand est-ce que tu vas jouer ? Quand est-ce qu’on pourra aller au stade?’ Je leur disais bientôt alors que je savais que ça allait être compliqué. »

Et cette période a été d’autant plus compliqué pour le milieu de terrain français que la Juventus Turin n’a pas été d’un très grand soutien, la Vieille Dame refusant de lui mettre à disposition « un préparateur physique » ou de lui prodiguer « des soins ». « Je n’avais pas le droit à ça. Ils n’étaient pas trop avec moi. Sentir ça, ça m’a mis un coup. Je n’ai pas compris pourquoi. Je me suis dit que j’étais en guerre avec l’anti-doping mais pas avec la Juve », a-t-il encore raconté.

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