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  • Real Madrid, un scandale éclate à la Coupe du monde des clubs !

Antonio Rüdiger (1)
Le deuxième match du Real Madrid, remporté 3-1 face à Pachuca, a vu Antonio Rüdiger se plaindre de propos racistes de la part d’un joueur mexicain,  ce qui a donné lieu à l’activation du protocole antiracisme.

Le Real Madrid a passé un moment compliqué, dimanche, face à Pachuca pour son deuxième match de la Coupe du monde des clubs. S’ils l’ont finalement emporté 3-1, faisant un grand pas vers la qualification pour les huitièmes de finale, les Merengue ont souffert et peuvent bien remercier Thibaut Courtois, auteur d’une très grosse prestation dans les buts.

Par ailleurs marquée par l’exclusion du défenseur Raul Asensio, la rencontre a également vu Antonio Rüdiger entrer dans une rage folle dans les dernières minutes de la rencontre en raison d’une insulte raciste proférée, selon ses dires, par Antonio Cabral. Et malgré l’intervention de l’arbitre, qui a déclenché le protocole antiracisme prévue par la Fifa, sa colère a mis du temps à s’estomper.

Le défenseur central madrilène a reçu à l’issue de la rencontre le soutien de son entraîneur. « Toni nous a dit ce qui s’est passé, nous le croyons et nous soutenons Toni. Nous verrons ce qui se passera. Je pense que le protocole de la Fifa a été activé et qu’une enquête est ouverte. Si cela s’est produit, toutes les mesures doivent être prises, parce que c’est quelque chose d’inacceptable. Dans le football, il n’y a zéro tolérance pour cela », a ainsi confié Xabi Alonso.

« Des choses qui arrivent dans le football »

De son côté, Jaime Lozano, son homologue mexicain, a exprimé sa surprise. « Vous me l’apprenez, nous n’en avons pas parlé dans le vestiaire avec Cabral. Je ne peux pas vous donner d’explication, parce que c’est la première fois que j’entends parler de cette histoire. Je vais en parler avec lui, je le connais depuis un petit moment et je n’ai jamais entendu de telles choses de produire avec les joueurs de Pachuca », a-t-il soutenu.

Coéquipier d’Antonio Cabral, Rondon reconnaissait, lui, à demi-mots les faits. « Ce sont des choses qui arrivent dans le football, les frictions sont fréquentes, pour moi ça doit rester sur le terrain », a-t-il soufflé.

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